jeudi 12 avril 2018

Blog 44 Asie Tadgikistan

En arrivant au tadgikistan invitation pour une fête(pour les garçons de 5/6 ans)






ici les tomates ne sont ni tuteurées ni taillées ,ça pousse en sauvage sur le sol

puis arrivé à Douchambé où je me fais jeter du consulat chinois et me fais consolé en allant à l’hotel hayatt , seul endroit où on peut tirer des dollars

je loge à l’auberge de jeunesse ,concentré de cyclotouristes, plus de 25 vélos


en route pour le Pamir accompagé de divers cyclos anglais,allemande,français des iles etc







Entrée dans le Pamir par un pont qui donne une idée de ce que seront les routes





puis plolonais et deux petits jeunes anglais qui n’arrivent pas à me rattrapper pour le premier col à 3200m




probléme de visa à un des nombreux contrôles de police dans le Pamir
je croise un vieux qui a mal un peu partout dans la descente du col,c’est un américain il a à peu prés mon age




puis on longe la riviére avec l’afganistan de l’autre coté de la riviére,beaucoup plus de contructions en terre et moins de tôles ondulées,je croise une espagnole qui roule toute seule depuis un an que j’avais vu à Dushambé



je croise aussi un groupe de tchéque qui me conseillent de prendre la vallée du bartang, il paraît que c’est facile(mais eux ils étaient dans le sens de la descente et ils avaient des 4x4 pour porter leurs bagages)
aprés le contrôle de police je ne suis plus très sûr que mon visa soit valable un mois et en prenant ce raccourci facile je devrais avoir le temps de gagner la frontiére avant l’expiration de mon visa

Donc c’est parti pour la vallée du Bartang, très vite la route se transforme en piste pas très facile



je croise un groupe d’israélien,j’arrive à suivre le plus lent (même systéme que les tchéques avec 4x4)



la récolte se fait à la main,c’est l’agriculture de subsistance,le gars me montre son vélo crevé avec un pneu complètement mort, je regrette encore de ne pas lui avoir fait cadeau de mon pneu de secours,pour une fois c’est moi qui aurait donné quelque chose




même à plat il faut parfois mettre pied à terre mais pour remonter sur le plateau il y a un passage avec des pentes jusqu’ 17 %, sur la piste impossible de rester sur le vélo, je n’aurai jamais autant poussé le vélo même en amérique du sud




je vois des traces de vélo et aussi des traces de pas, je suspecte que d’autres cyclos sont passés par là en poussant aussi
en haut je rejoint deux Français ,ils n’ont fait que 15 km dans la journée, je vais rouler quelques jours avec eux





j’attrappe la tourista un jour de jeûne mais ça ne sera pas suffisant,je suis invité à la fin de la bartang et ne refuse pas l’invitation



mais malade à nouveau le lendemain,il faudra deux jours pour que ça passe
un des français prend un taxi avec des filles suisses qui semblent épuisées, lui a mal au genoux
aprés une journée de repos je fais le petit col à 4300m pour gagner le kirgistan
sans manger et avec le vent froid de face je peine un peu



je croise encore pas mal de cyclos,des grands voyageurs, une fille suisse/espagnole voyage depuis 4 ans seule, fait des petis boulots de temps en temps,

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