En arrivant au tadgikistan
invitation pour une fête(pour les garçons de 5/6 ans)
ici les tomates ne sont ni
tuteurées ni taillées ,ça pousse en sauvage sur le sol
puis arrivé à Douchambé où
je me fais jeter du consulat chinois et me fais consolé en allant à
l’hotel hayatt , seul endroit où on peut tirer des dollars
je loge à l’auberge de
jeunesse ,concentré de cyclotouristes, plus de 25 vélos
en route pour le Pamir
accompagé de divers cyclos anglais,allemande,français des iles etc
Entrée dans le Pamir par un
pont qui donne une idée de ce que seront les routes
puis plolonais et deux petits
jeunes anglais qui n’arrivent pas à me rattrapper pour le premier
col à 3200m
probléme de visa à un des
nombreux contrôles de police dans le Pamir
je croise un vieux qui a mal
un peu partout dans la descente du col,c’est un américain il a à
peu prés mon age
puis on longe la riviére avec
l’afganistan de l’autre coté de la riviére,beaucoup plus de
contructions en terre et moins de tôles ondulées,je croise une
espagnole qui roule toute seule depuis un an que j’avais vu à
Dushambé
je croise aussi un groupe de
tchéque qui me conseillent de prendre la vallée du bartang, il
paraît que c’est facile(mais eux ils étaient dans le sens de la
descente et ils avaient des 4x4 pour porter leurs bagages)
aprés le contrôle de police
je ne suis plus très sûr que mon visa soit valable un mois et en
prenant ce raccourci facile je devrais avoir le temps de gagner la
frontiére avant l’expiration de mon visa
Donc c’est parti pour la
vallée du Bartang, très vite la route se transforme en piste pas
très facile
je croise un groupe
d’israélien,j’arrive à suivre le plus lent (même systéme que
les tchéques avec 4x4)
la récolte se fait à la
main,c’est l’agriculture de subsistance,le gars me montre son
vélo crevé avec un pneu complètement mort, je regrette encore de
ne pas lui avoir fait cadeau de mon pneu de secours,pour une fois
c’est moi qui aurait donné quelque chose
même à plat il faut parfois
mettre pied à terre mais pour remonter sur le plateau il y a un
passage avec des pentes jusqu’ 17 %, sur la piste impossible
de rester sur le vélo, je n’aurai jamais autant poussé le vélo
même en amérique du sud
je vois des traces de vélo et
aussi des traces de pas, je suspecte que d’autres cyclos sont
passés par là en poussant aussi
en haut je rejoint deux
Français ,ils n’ont fait que 15 km dans la journée, je vais
rouler quelques jours avec eux
j’attrappe la tourista un
jour de jeûne mais ça ne sera pas suffisant,je suis invité à la
fin de la bartang et ne refuse pas l’invitation
mais malade à nouveau le lendemain,il faudra deux jours pour que ça passe
un des français prend un taxi
avec des filles suisses qui semblent épuisées, lui a mal au genoux
aprés une journée de repos
je fais le petit col à 4300m pour gagner le kirgistan
sans manger et avec le vent
froid de face je peine un peu
je croise encore pas mal de
cyclos,des grands voyageurs, une fille suisse/espagnole voyage depuis
4 ans seule, fait des petis boulots de temps en temps,
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