je suis arrivé à la mi
journée à sarak le 1er Aout mais mon visa de transit de
5 j ne commence que le 2 Aout, je suis dans les starting block car je
n’ai que 5j pour faire les 500 km de désert et le vent n’est à
priori pas favorable
je passe le portail à 7h à
l’heure d’ouverture mais les bureaux de contrôle n’ouvrent
qu’à 9h, pendant l’attente un autre cyclo arrive, un allemand
Lars
il faudra toute la matinée
pour passer la frontiére : tout déballer ,tout remballer deux
fois, le temps de trouver de la monnaie locale au premier village,
les turkemens ont un look
compétement différent des iraniens, un mélange de russe et de
chinois , les femmes sont voilées mais avec des foulars multicolors
,pas en noir et nous font des bonjours du bord de la route
on se lance dans le désert
qu’en début d’aprés midi avec un vent du diable dans le nez, un
vent de sable
et une route avec des trous énormes,c’est les montagnes russes, au coucher du soleil on a fait que 70 km,je roule la plus part du temps dans la roue de lars un peu protégé du vent
et une route avec des trous énormes,c’est les montagnes russes, au coucher du soleil on a fait que 70 km,je roule la plus part du temps dans la roue de lars un peu protégé du vent
le lendemain on part tôt vers
6h pour avoir moins de vent puis la route change de direction et on
va avoir le vent favorable pour la journée,on fait 145 km malgré un
coup de barre de Lars en fin d’aprés midi ,il frise le malaise,on
est obligé de s’arrêter
j’aurai bien fait plus sans
m’arréter, le vieux est finalement plus résistant que le jeune
frimeur
les jours suivants le vent de
nord est est défavorable mais pas trop fort mais la route n'est pas des meilleures
ça ne sera pratiquement que du desert jusqu'à la frontiére
le 3 eme jour on est rassuré, il reste 150 km pour deux jours, on sera dans les temps
le 3 eme jour on est rassuré, il reste 150 km pour deux jours, on sera dans les temps
je passe les 8000km à l'approche de la frontiére, des files de camions à la frontiére,nous on passe beaucoup plus facilement
Uzbekistan
Peu aprés avoir quitté
Boukhara 1ere crevaison, l’assistance ne manque pas, pour
démonter,trouver l’épine,regonfler, les gens se succédent
je suis le gps qui m’emméne
dans des escaliers, on m’aide et on me propose même de faire étape
mais il n’est pas encore midi,dommage mais il faut tout de même
rouler un peu
direction tadgikistan sous un
soleil de plomb 42°/43° à l’ombre, 47° sur le thermométre du
vélo, il y a même des stands le long de la route qui ne vendent que des bouteilles d'eau
rencontre de Jamie, il n’a
pas l’habitude de demander pour camper mais reconnaît que c’est
bien sympa une soirée avec les bergers
ensuite ce sera dans un champs
de coton , un campement sur une plateorme en hauteur,j’aurai bien
monté la tente pour les moustiques mais un travailleur dort aussi
avec nous ,alors là pas place pour dresser la tente
les enfants des écoles
participent au travail dans les champs de coton, mais tous les
adultes ont également un quota de coton à ramasser sous peine
d’amende
l’uzbekistan est le deuxiéme
exportateur mondial de coton, c’est un sport national
Avant de quitter l’uzbekistan
je veux liquider la monnaie locale mais on me fait cadeau du
pain,ensuite à l’épicerie c’est les fruits secs et sur le long
de la route c’est des fruits qu’on refuse que je paye
à la frontiére se profile les montagnes du Pamir
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